Vladimir Kanza Kavla.
Vladimir Kanza, plus connu sous le nom de Kavla, annonce la sortie officielle de son prochain opus, Tapari, fin septembre 2010. En studio depuis trois ans avec la bénédiction de la maison de production Groupe Anitha Ngapy, et avec l'assistance de Maxime Foutou, Kavla reste convaincu que son opus, qui compte dix chansons, fera un tabac. Tapari, qui se traduit en dialecte kongo comme quelque chose qui met l'accent sur le gestuel, est chanté dans le style que son auteur-compositeur appelle « ouambala », un style apparenté à celui pratiqué au Sénégal, auquel Kavla voue une grande admiration.
Avec dix-sept ans de carrière, Kavla doit son art à Casimir Zao, surnommé l'Ancien Combattant. Il a évolué avec l'une des rares voix féminines de la musique congolaise, Mamie Claudia, arrachée trop tôt à la vie ; mais aussi avec Youss Banda, un auteur-compositeur interprète congolais, avec qui il a effectué beaucoup de tournées internationales. À travers ses compositions chantées en plusieurs langues - ouolof, lary, vily, mbochi, lingala, français et espagnol -, le jeune Kavla interprète autant de thèmes prônant la paix, la tolérance et l'amour. Convaincu de son art, Kavla estime que la musique a fait de lui l'homme qu'il est aujourd'hui.
En dépit de son premier album intitulé Nous voulons la paix, qui a fait long feu faute de stratégies promotionnelles fiables, Kavla souligne que « la musique m'a ouvert beaucoup de portes et de connaissances, sans compter les voyages, surtout dans les pays africains ». Son rêve était de créer une école de musique de percussion au Congo, mais aussi des orphelinats pour aider les enfants démunis et surtout faire découvrir la musique congolaise combinant la tradition et la modernité pour revaloriser l'art du conte, comme savent le faire les griots. Avec les sept personnes qui composent le groupe, Kavla entend s'affirmer dans son art emprunt aux sonorités ouest-africaines.
Jean Dany Ébouélé (Brazzaville-Adiac)
Avec dix-sept ans de carrière, Kavla doit son art à Casimir Zao, surnommé l'Ancien Combattant. Il a évolué avec l'une des rares voix féminines de la musique congolaise, Mamie Claudia, arrachée trop tôt à la vie ; mais aussi avec Youss Banda, un auteur-compositeur interprète congolais, avec qui il a effectué beaucoup de tournées internationales. À travers ses compositions chantées en plusieurs langues - ouolof, lary, vily, mbochi, lingala, français et espagnol -, le jeune Kavla interprète autant de thèmes prônant la paix, la tolérance et l'amour. Convaincu de son art, Kavla estime que la musique a fait de lui l'homme qu'il est aujourd'hui.
En dépit de son premier album intitulé Nous voulons la paix, qui a fait long feu faute de stratégies promotionnelles fiables, Kavla souligne que « la musique m'a ouvert beaucoup de portes et de connaissances, sans compter les voyages, surtout dans les pays africains ». Son rêve était de créer une école de musique de percussion au Congo, mais aussi des orphelinats pour aider les enfants démunis et surtout faire découvrir la musique congolaise combinant la tradition et la modernité pour revaloriser l'art du conte, comme savent le faire les griots. Avec les sept personnes qui composent le groupe, Kavla entend s'affirmer dans son art emprunt aux sonorités ouest-africaines.
Jean Dany Ébouélé (Brazzaville-Adiac)
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