Tati Loutard A l’écoute de juillet 2009 J uillet, ventre d’un Quatre de couleur noire E nseveli je suis dans le nœud gordien de 2009. A utour de moi le cri d’un cygne de mer menacé par un ornithologue N ous n’avons pas pu repousser la main sale du désespoir B onheur coupé par la lame de la mort A u détour d’un morceau d’une vie accomplie P ays, mon pays le Congo dans la douleur, T u verras toujours danser la mer du côté de Ngoyo ; I l est immortel en moi dans l’écriture de « Mer et écriture ». S ur l’autre versant d’un soleil coupé du Kouilou, T chichellé chante le feu de brousse de Tchicaya E n cette terre des Loango fertile en écriture. T u as porté dans tes bras mes premiers vers A u creux d’une poche de Bayardelle. T a simplicité m’avait séduit I ndélébile tache que je porte en moi. L e temps de notre temps s’est accroché à moi O n n’est jamais écrivain d’un seul livre ...
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