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Articles

Affichage des articles du septembre, 2012

LA MUSIQUE CONGOLAISE EN CRISE.

Quand la musique véhicule des antivaleurs, le public court en droite ligne vers le suicide collectif. La musique congolaise est en crise. Des titres à thèmes et pédagogiques qui firent la célébrité de Jean Serge Essou, Pamelo Mounka, Franklin Boukaka, Cosmos Mountouari, Youlou Mabiala et autres, ceux d’animation prônés par la génération Aurlus Mabélé et Extra Musica, cette musique s’est ouverte aux titres scandaleusement pornographiques. Principalement ce couper-décaler à la congolaise pratiqué par le disco-jockeys. « Vutu sa mante »  ; « lukuni kabwa »  ; « ça fait mal »  ; « il a pissé dedans », etc. Voilà les phrases pompeusement distillées dans le public à longueur des journées. Un contenu essentiellement obscène, fait de grossièretés. Et comme pour légitimer leurs crimes, les ténors de la musique de débauche mêlent dans leurs textes luxure et noms des célébrités politiques, du monde du football mondial, des généraux et autres officiers supérieurs des Force Armées C

Ateliers sur la couverture des questions touchant les femmes

La Fondation Thomson Reuters offre un cours intensif de six jours conçu pour aider les journalistes à perfectionner leurs aptitudes et à optimiser leurs techniques de couverture des questions touchant les femmes ainsi que les opinions et l’autonomisation de ces dernières. La Fondation décrit le cours comme étant un atelier dynamique et pratique durant lequel les participants participeront à des cours (quatre jours), puis à la conférence News Xchange (deux jours) ( http://www.newsxchange.org/ ). Les thèmes couverts par l’atelier incluront: une évaluation critique de la couverture des droits des femmes dans les médias globaux; le choix du meilleur angle pour aborder une histoire; aptitudes à la présentation et rédaction pour un plus grand impact; intégration de la qualité narrative dans l’organisation des nouvelles (récit d’histoires); éthique et vérification des faits; présenter des nouvelles locales (ou nationales) à un public mondial; sécurité des femmes journalistes; et ce qu

L’ARBRE QUI FUT LA FIERTE DE BRAZZAVILLE.

Où est passé la qualité qu’avait le congolais qui aimait l’arbre. Cet amour de la verdure ? Avant quand quelqu’un achetait une parcelle, la première chose à planter était l’arbre au point où l’on pouvait dire pas une parcelle sans un arbre à Brazzaville, faisant d’elle ‘’Brazza la verte’’. Récuser l’arbre dans nos parcelles et nos espaces publics serait méconnaitre son rôle dans la vie des citadins, mieux des humains que nous sommes. Production de l’oxygène, purification de l’aire, régularisation des écarts extrême de température, protection contre la chaleur, protection contre la pluie, et autre rôle esthétique et social voila ce à quoi sert l’arbre.  Aujourd’hui deux parcelles sur dix ont un arbre. Le reste a coupé l’arbre pour une raison ou une autre. Mais deux principales raisons ont surtout détruit l’arbre dans les parcelles à Brazzaville. La première est le faux mimétisme à l’occidentale. Les nouveaux acquéreurs des parcelles à Brazzaville prétendent faire comme Europe, si non

Cours de formation: Reportage sur les questions touchant les femmes

La Fondation Thomson Reuters offre un cours intensif de six jours conçu pour aider les journalistes à optimiser la façon dont ils couvrent les questions relatives aux femmes, à leurs opinions et à leur autonomisation. Les participants participeront à un cours de quatre jours puis à la conférence News Xchange de Barcelone, du 14 au 16 novembre ( http://www.newsxchange.org/ , en anglais seulement). Les thèmes couverts incluront: choisir le meilleur angle pour votre histoire; écrire de sorte à avoir un plus grand impact; éthique et vérification des faits; et sécurité pour les journalistes femmes. Le cours explorera aussi la perspective féminine et ce qu’elle peut apporter à la couverture médiatique de n’importe quel événement ou situation. Les candidats devraient avoir deux ans d’expérience journalistique professionnelle et démontrer un intérêt marqué pour les questions touchant les femmes, ainsi qu’un bon niveau en anglais écrit et oral. Pour plus de détails, et pour soumettre une candi